mercredi 28 janvier 2015

Les spécificités de leadership

Si tu veux être un leader qui attire des personnes de qualité autour de toi, la clé est de devenir toi-même une personne de qualité. Le leadership est la capacité d’inspirer au travers, de tes compétences, tes talents, et des opportunités que tu offres en tant qu’entrepreneur, gestionnaire, homme de foi ou encore en tant que parent à ceux qui t'entourent. Ce qui est important dans le leadership c’est de continuellement affiner tes aptitudes. Tous les grands leaders travaillent continuellement sur eux-mêmes jusqu'à ce qu'ils deviennent efficaces.

Voici quelques spécificités:

Apprends à être ferme mais pas rude. C’est une étape supplémentaire que tu dois prendre pour devenir un leader d'influence et compétent. Certaines personnes confondent rudesse et fermeté.

Apprends à être aimable et bon, mais pas faible. Tu ne dois pas confondre la faiblesse et la bonté. La gentillesse n'est pas une faiblesse. La gentillesse est définitivement une force. Tu dois avoir l'amabilité de dire la vérité à quelqu'un. Etre assez aimable pour dire les choses telle qu’elles sont, mais avec pour motivation première d’ajouter de la valeur. Ainsi tu sauras choisir le meilleur moment pour dire la bonne chose. C'est la Loi du Moment choisi ou la loi du Timing.

Apprends à être audacieux, mais pas tyrannique. Il faut de l'audace pour gagner la journée. Pour construire ton influence, tu dois prendre de l’initiative. Tu dois être prêt à prendre la première flèche, t’attaquer le premier au problème. Comme le fermier, si tu veux les récompenses au moment de la récolte, tu dois être audacieux et faire face aux mauvaises herbes, à la pluie et aux insectes.


Apprends à être humble, mais pas timide. Alassane, il te sera difficile de laisser un impact autour de toi et d’être une personne d’influence en étant timide. Certaines personnes confondent la timidité et l'humilité. L'humilité est une vertu, la timidité est une maladie. C'est un handicap qui heureusement peut être guéri.
Ce qui fait la différence entre les leaders de Niveau 5 (excellents leaders) et les autres n’est pas le charisme, mais un mélange paradoxal de volonté inébranlable et d’humilité personnelle.

Apprends à être fier, mais pas arrogant. Il faut de la fierté pour construire tes ambitions. Il faut de la fierté pour bâtir et élever ta communauté. Il faut de la fierté pour bâtir une nation. La clé pour devenir un excellent leader c’est d'être fier sans être arrogant .


En apprenant ces choses et en les vivant, tu amélioreras ton leadership…

Excellente journée.

jeudi 22 janvier 2015

SYNEDS _ Synergie des Entrepreneurs pour le Développement Social: La notion de leadership avec José de INSPIRE LEAD

SYNEDS _ Synergie des Entrepreneurs pour le Développement Social: La notion de leadership avec José de INSPIRE LEAD: Chère communauté,  J'ai le plaisir de partager avec vous, un courriel de JOSE sur certains aspects et questions liés au LEADERSHIP. J&#...

SYNEDS _ Synergie des Entrepreneurs pour le Développement Social: L’économie Numérique au Sénégal : Ce qu'il faut re...

SYNEDS _ Synergie des Entrepreneurs pour le Développement Social: L’économie Numérique au Sénégal : Ce qu'il faut re...: Le Sénégal fait parti des pays africains qui se distinguent par leur dynamisme et leur engagement dans la révolution numérique. Cela se ...

La notion de leadership avec José de INSPIRE LEAD


Chère communauté, 
J'ai le plaisir de partager avec vous, un courriel de JOSE sur certains aspects et questions liés auLEADERSHIP. J'espère que ça vous sera d'une grande utilité pour ceux qui aspirent à devenir leader et de même pour certain(e)s d'entre vous qui l'incarnent. Bonne suite

Bonjour Alassane,

Au cours de ce weekend, j'ai eu l'honneur d'animer une conférence sur le Leadership et l'Entrepreunariat. A la fin de mon exposé, apres avoir répondu avec beaucoup de plaisir aux multiples questions des participants, j'ai été approché par un entrepreneur tres ambitieux, qui me suppliait de lui accorder quelques minutes car ayant encore quelques zones d'ombre dont il sollicitait des éclaircissements.

Je me permets de partager avec toi le contenu de nos échanges dans le but de t'aider également à élever ton niveau de leadership.

Q: Qu'est ce qui fait un excellent leader

R: A présent, je crois que tu as compris que le leadership c'est l'influence, rien de plus rien de moins. C'est l'inspiration. C'est la capacité d'enmmener un individu ou un groupe à se surpasser. L'excellent leader par conséquent est celui qui possède une capacité particulière de communiquer aux personnes qui l'entourent leur valeur et leur potentiel si clairement qu'elles sont inspirées de les voir en eux.

Q: Vous dites que le leadership est un choix et non une position. Pourriez-vous élaborer?

R: A cause de la définition même du leadership, la capacité à devenir un tel leader est un choix qui s'offre à tous, parent, professeur, employé, cadre, fonctionnaire, entrepreneur, coach, pasteur, curé, iman, professionnel et ami.

“Y a t il quelqu'un qui un jour t'a emmener à prendre conscience de ta valeur et ton potentiel si clairement que cela a profondément influencé ta vie?”

Pense à cette expérience, comment cela s'est-elle produite, qui en était l'auteur, quel impact cela a eu sur toi?

Quand tu décideras de faire pareil pour les personnes qui t'entourent tu seras un leader.


Q: Y a t il une formule pour devenir un tel leader?

R: Je crois qu'effectivement il existe une formule. Cette formule est ce que nous appelons les 4 impératifs du Leadership.
Le premier est d'inspirer la confiance. Une relation de confiance est batie à travers le caractère et la compétence. Une des 21 lois du leadership est la loi du terrain ferme qui dit, la confiance est le fondement du leadership. Le leadership repose sur la confiance et la confiance repose sur le caractère. C'est pour cette raison que Norman Schwarzkopf, un général de l'armée américaine disait: “ Le leadership est une puissante combinaison de strategie et de caractère. Mais s'il devait en manquer un, que ce soit la stratégie.”

La confiance aux autres est exprimée en croyant en leur capacité, en déléguant de manière croissante les responsabilités. La confiance est inspirée lorsque ta préoccupation est d'ajouter de la valeur dans la vie des autres.
Le deuxième impératif est de clarifier le but. Il n'y a pas de leadership sans but, il n'y a pas de leadership sans vision. Le point de départ du leadership c'est un individu possédant une cause, une vision, un rêve. De plus, les excellents leaders inclus leur collaborateurs dans le processus d'élaboration des des objectifs à accomplir. Les collaborateur impliqués dans un tel processus, s'approprient mieux la vision, la mission, et les objectifs.
Le troisième est d'aligner les systèmes. Il s'agit ici de créer un environnement en congruence avec la vision. Une structure propice à la réalisation de notre vision. Cela signifie également ne pas permettre qu'il y ait un conflit entre ce qui est important et ce que tu mesures. Par exemple plusieurs entreprises affirment que les hommes sont leur plus grand atout mais en réalité les structures et les systèmes mis en place ne le reflètent pas.
Le quatrième est le fruit des trois premiers — libérer le talent. Lorsque tu inspires confiance, tu partages un but commun et tu crées un environement propice, alors les collaborateurs sont libérés, galvanisés et responsabilisés. Leur talent est relaché de sorte que leur plein potentiel, leur intelligence et leur créativité sont pleinement utilisés.


Alassane, ces 4 impératifs sont des principes du leadership qui utilisés, produisent un impact certain. Il ne s'agit pas de techniques, mais de véritables principes qui guident le caractère d'un leader.

Souviens-toi, Alassane, le Leadership est un choix.

Excellente journée.

José

dimanche 11 janvier 2015

L’économie Numérique au Sénégal : Ce qu'il faut retenir de 2014 - See more at: http://fooyre.org/index.php/component/k2/item/17-l-economie-numerique-au-senegal-ce-qu-il-faut-retenir-de-2014#sthash.K9hPwby3.dpuf

Le Sénégal fait parti des pays africains qui se distinguent par leur dynamisme et leur engagement dans la révolution numérique. Cela se traduit par une longue tradition des politiques publiques de l’État ainsi que l'engagement des partenaires au développement pour faire le secteur un levier de développement durable. 
Les TIC ont été identifiés comme outils pour développer les conditions d’une structuration des services privés et publics de proximité à travers des axes prédéfinis (administration publique, services sociaux de bases, entrepreneuriat). Ainsi, l’économie numérique pourrait être un pilier pour propulser les secteurs au ralentit à travers un certain nombre d'innovations technologiques. Mais au Sénégal, l’enjeu est comment comprendre cet écosystème pour rendre effective sa mise en œuvre tout en évitant la cacophonie entre les acteurs.

Aujourd’hui, perpétuer les pratiques et les stratégies de développement importées de l’économie numérique équivaudrait à passer à côté des potentiels mutations vers la société de l’information. Les politiques publiques en cours seraient aussi condamnées à copier des visions, des processus et des approches caduques qui n’ont pas fait leurs preuves en termes d’efficacité, d’inclusion de toutes les franges de la population vers des changements sociaux espérés.   LIRE LA SUITE



Ainsi, il urge d'engager la réflexion sur la pertinence des indicateurs de performance afin de mieux apprécier l’efficacité des actions au lieu de mesurer la performance en terme de taux de pénétration, de nombre de mobiles vendus ou d’abonnements. D’autant que l’atteinte des OMD exige l'implication davantage des acteurs non étatiques dans la lutte contre les pandémies, l’analphabétisme, la mortalité infantile, du chômage des jeunes etc. Aussi, n’est-il pas nécessaire de mettre en adéquation les besoins en formation Tic avec les réalités du marché  du travail. C'est la solution pour promouvoir l'auto-emploi et la création de richesse au Sénégal. Non sans laisser en rade la dimension genre qui favoriserait une discrimination positive en réservant à la gent féminine une place de choix dans les stratégies et politiques nouvelles en termes d’usage des TICs.

Par ailleurs, le Sénégal a fait durant ces dernières années un grand bon en avant en matière de Tics. Il y a eu le lancement de projets qui pourraient booster l’économie numérique. On peut en citer entre autres projets :

L’Université virtuelle du Sénégal (UVS) : c’est la sixième université publique sénégalaise. Elle  est, toutefois, spécifique de par son système d’enseignement qui fait essentiellement appel aux Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) avec des services innovants comme L’E.N.T  qui est un portail de services en ligne. L’E.N.T est un site web sécurisé offrant un point d’accès unique où l’enseignant, l’étudiant et l’ensemble du personnel de l’établissement peuvent trouver des informations, outils et services numériques en rapport avec leurs activités éducatives.

Le TéléDAC avec SAFI (Système administratif des formalités informatisées) :  c’est un portail internet permettant d'effectuer des formalités administratives directement en ligne.
Le Mirador : c’est un Portail de Management Intégré des Ressources Axé sur une Dotation Rationnelle du Ministère de l’Éducation Nationale (MEN) / Ministère de la Formation Professionnelle etc.

·         Le passage de l’analogie vers le numérique avec le lancement de la TNT
·         La Semaine Nation de la Solidarité Numérique SNSN organisée par l'ADIE
·         L'agence Nation de Protection des Données Personnelles


Cependant, l’État et certains acteurs tentent de poser des jalons pour mettre en œuvre leur vision de l’économie numérique. Mais leurs démarches sont empreintes d’incohérences et d'approches politiciennes.

 Le fonds de développement du service universel des télécommunications (FDSUT) pour la promotion des tic dans le monde rural en est une parfaite illustration. C’est pourquoi, d’ailleurs, le journaliste de l’hebdomadaire la Gazette du Sénégal, Baye Makebe Sarr dans un de ses articles le qualifie : «d'une vaste entreprise d’escroquerie».

Fort de ce constat, le plan Sénégal émergent (PSE) devrait en tirer la leçon pour mettre l'accent sur la politique organisationnelle des Tic en produisant une législation en la matière qui produirait des résultats probants dans le court, moyen et long terme. Il est aussi important  d'inciter les organes de régulation du secteur à veiller sur les cahiers de charges des opérateurs de télécommunications afin d'avoir plus de qualité et d’équité dans les services de télécommunications.

Car, le paradoxe est que la capitale, Dakar est bien servie, alors que l’intérieur du pays réclame l’accès à la connectivité. En guise d’exemple, au moment ou on teste la 4G à Dakar et à Saly (Mbour), des chefs lieux d'arrondissement comme Méouane (Thies), Tattaguine (Fatick), Makacoulibantang (Tambacounda) n'ont pas accès à l'ADSL. En outre, dans le département de Bignona (Djibidionne, Suel, Sindian), les populations utilisent plus les réseaux de télécommunications gambiens que ceux sénégalais. Tirez-en une conclusion !

Par ailleurs, l’État devrait également veiller sur les activités des acteurs non étatiques qui captent des fonds au nom du développement et l'accompagnement des start-up et, qui, en réalité depuis deux ans trainent les pieds. Elles tardent à poser des actes allant dans le sens de produire des résultats concluants dans la lutte contre le chômage des jeunes diplômés du secteur des TIC. Car, de notre avis, le management axé sur les résultats ne doit pas se limiter au PSE. Il doit être étendu à l’ensemble des champs d'actions.

Conclusion

En somme, on peut retenir sans trop se tromper, qu'au Sénégal la voie n'est pas encore tracée pour définir une base solide en Tic sur laquelle les acteurs pourraient s'appuyer pour propulser leurs visions.
Car, les activités déroulées sont hétérogènes et ne produisent quasiment pas des synergies multi-acteurs. Un des freins à ces dynamiques est le cloisonnement des acteurs et de leurs activités. Les psodo-spécialistes de l’économie numérique connaissent encore assez mal les potentialités des technologies de l’information et de la communication (TIC) pour atteindre les OMD et à l’inverse, les acteurs des TIC ignorent les problématiques du développement.

 Le besoin en renforcement des capacités ne peut être appréhendé par les acteurs s’il n’y a pas au préalable une prise de conscience de l’impact de la fracture numérique dans les pays comme le nôtre. Dans ce contexte de la globalisation des échanges et du développement mondial de la «société de la connaissance», au Sénégal, de nombreuses questions restent sans réponse (absence de législation du secteur, de l'usage, de la création de contenus).  Ces maux restent un facteur bloquant à l'atteinte des OMD et accentuent les inégalités. Pourtant, il est reconnu que les Tic constituent un levier important pour  le développement socio-économique des pays en voie de développement. Mais,  que sera, vraiment, la mise en œuvre de l'économie numérique au Sénégal en 2015 ?
Auteur:
Malick FAYE
Informaticien & Chef de Projet Multimédia

Manager de m6informatique
Site: www.m6informatique.com
Mail: m6informatique@m6informatique.com
Tél: +221 77 577 84 16 / 70 575 67 63 / 33 835 45 37
“La confiance en soi, c’est le facteur qui vous permet
d’obtenir ce que vous voulez. OSEZ entreprendre ”
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